Tellement de choses qui me parlent dans ce que tu livres ici, Philippe. Mais voilà, le bonheur se conquiert et notre regard y suffit, dans celui que l'on porte sur la vie et avant tout sur soi-même ! Il y a de la paix à être heureux… et cette paix peut faire écrire !
Tellement de choses qui me parlent dans ce que tu livres ici, Philippe. Mais voilà, le bonheur se conquiert et notre regard y suffit, dans celui que l'on porte sur la vie et avant tout sur soi-même ! Il y a de la paix à être heureux… et cette paix peut faire écrire !
tu parles de cette mise à distance, de ce pas de retrait, une façon bien à toi de traverser l'espace et le temps... ainsi tu t'exemptes de dire l'émotion, tu la gardes en toi et elle demeure secrète, inconnue de l'autre... reste à trouver le gué pour franchir la rivière...
C'est vrai que la maladie nous vieillit méchamment... On franchit un cap, c'est certain.
Par rapport au bonheur - je pense qu'il faut apprendre qu'un bonheur ne se "paie" pas forcément. On peut tirer du bonheur du bonheur - si j'ose dire, tout simplement. On met du temps à l'apprendre - j'ai appris ça très tard, mais je l'ai appris.
Sans mots. Que merci. Merci, cher Philippe.
Tellement de choses qui me parlent dans ce que tu livres ici, Philippe. Mais voilà, le bonheur se conquiert et notre regard y suffit, dans celui que l'on porte sur la vie et avant tout sur soi-même ! Il y a de la paix à être heureux… et cette paix peut faire écrire !
Tellement de choses qui me parlent dans ce que tu livres ici, Philippe. Mais voilà, le bonheur se conquiert et notre regard y suffit, dans celui que l'on porte sur la vie et avant tout sur soi-même ! Il y a de la paix à être heureux… et cette paix peut faire écrire !
Merci Marlen. Tout ce que tu dis est vrai. Je chemine vers la paix, l’écriture est le bâton qui me permet d’avancer, j’imagine…
touchée parce que tu te livres de plus en plus...
comme une porte qui s'entr'ouvre
tu parles de cette mise à distance, de ce pas de retrait, une façon bien à toi de traverser l'espace et le temps... ainsi tu t'exemptes de dire l'émotion, tu la gardes en toi et elle demeure secrète, inconnue de l'autre... reste à trouver le gué pour franchir la rivière...
en tout cas les mains sont tendues
Merci Françoise…
C'est vrai que la maladie nous vieillit méchamment... On franchit un cap, c'est certain.
Par rapport au bonheur - je pense qu'il faut apprendre qu'un bonheur ne se "paie" pas forcément. On peut tirer du bonheur du bonheur - si j'ose dire, tout simplement. On met du temps à l'apprendre - j'ai appris ça très tard, mais je l'ai appris.
L’ego joue des tours, et parfois cherche à nous interdire d’être heureux. Mais je travaille dessus !
Oui, c’est ça. Vieux fond judéo-chrétien. Mais franchement, certains bonheurs sont là pour être appréciés, tout simplement